Mauvaise nouvelle pour les amateurs de cigarettes et de boissons alcoolisées : la taxe d’accise vient d’être augmentée. Cette taxe sur la consommation de produits importés a pris effet vers la mi-septembre, et impose des coûts supplémentaires à des produits bien spécifiques.
Une taxe, des cigarettes plus chères
Le prix des cigarettes va donc augmenter relativement sensiblement. Ce seront 4 à 15 bahts thaïlandais de plus qui seront demandés par paquet.
Le vin étranger et les alcools très imposés
Amateurs de bière ? La bière alcoolisée basique vous coûtera environ 3 bahts de plus à la bouteille. Quant aux vins, l’augmentation des prix devient plus compliquée. Si votre bouteille de vin vous coûte 1000 bahts ou plus à l’unité, cette dernière vous coutera 110 bahts de plus par bouteille. Cela concerne les produits importés majoritairement, car les prix des bouteilles coutant moins d’un millier de bahts couteront 25 bahts moins cher. Une invitation à consommer local et à diminuer les produits importés ?
Pour ceux appréciant le whisky et alcools forts, la taxe sera moins importante. 8 à 30 bahts de plus seront imposées pour les bouteilles produites localement. Pour les autres boissons importées fortes en teneur d’alcool, les prix augmenteront de 0,80 à 3,50 bahts. Le calcul s’effectura en fonction du degré d’alcool et du type d’importation.
Des conséquences sur la consommation générale
Outre les cigarettes et les alcools, les prix des boissons de type sucrées et gazeuses augmentera également, mais l’évolution des prix sera très faible, puisque qu’elle tournera autour d’un baht, comme il est possible de l’observer dans ce document du Bangkok Post :
Cette augmentation de la taxe d’accise vise, entre autres, à favoriser la production locale et éviter l’importation trop importante de produits. Bien que certains produits comme le vin importé subissent une nette augmentation des prix, certaines croissances de prix risquent de ne même pas être remarqués par la communauté étrangère et expatriée, cette dernière possédant généralement un pouvoir d’achat plus élevé que les autochtones.