Il y a sept ans, Marie, 42 ans, et son mari accompagnés de leurs deux filles ont décidé de changer de vie et de s’expatrier en Thaïlande.
Avant de s’installer définitivement dans le « Pays du sourire », Marie et son mari ont effectué quelques voyages de repérage. L’hospitalité des Thaïlandais, la qualité de la vie ainsi que le potentiel économique de ce pays et de la région toute entière, ont achevé de les convaincre de faire le grand saut. Confiants, ils sont partis avec seulement 4 valises et ont crée leur société : « C’était un vrai challenge, mais c’est la meilleure décision que nous ayons prise »
Marie et sa famille ont décidé d’investir dans un appartement spacieux situé dans un des quartiers résidentiels de Bangkok : Sukhumvit. Un appartement à proximité de tous les commerces et des infrastructures nécessaires, et à seulement quelques pas de tous types de transports (Métro aérien, taxi, moto-taxi, Tuk-Tuk…). Ils n’utilisent que très rarement leur voiture à Bangkok.
Dès leur arrivée ils se sont tout d’abord concentrés sur le bien-être de leurs deux filles. D’ailleurs, leur trouver une école n’a pas été une tâche compliquée. Marie nous dit avoir découvert une offre très large d‘écoles internationales. Ses enfants, scolarisées depuis l’âge de 18 mois, se sont très bien intégrées : « Elles ont maintenant la chance d’être trilingue et de partir tous les matins à l’école en Tuk Tuk !! La principale différence avec l’école française est bien sûr la langue enseignée qui est l’anglais, mais surtout le fait que mes filles sont dans une école où 23 nationalités cohabitent. Une richesse et une grande ouverture d’esprit pour tous ces enfants! »
La différence de langue enseignée, selon Hélène, ne représente en aucun cas une barrière de communication, explique-t-elle : « Les enfants ont une capacité d’adaptation et de communication incroyable. Mes filles jouent tous les jours avec nos voisins japonais. Ils ne parlent pas anglais et mes filles ne parlent pas japonais, mais ils se comprennent ! »
De plus ils ont eu la chance de trouver une nounou formidable qui a pris en charge la maison et les enfants, ce qui leur a permis de se concentrer sur le lancement de leur société et leur intégration dans cette nouvelle vie. « Le fait de travailler avec des employés Thaïs au quotidien nous a permis de mieux comprendre cette culture si différente de la nôtre. J’ai réalisé, avec le recul, qu’il fallait cependant du temps pour appréhender ce contexte local et apprécier les différences culturelles. »
Des différences culturelles imprégnées par le bouddhisme très présent dans la vie des Thaïlandais. « Un pays jeune et dynamique avec une appréciation de la vie au jour le jour » note Marie.
En parallèle, Marie a remarqué que la communauté française était très active en Thaïlande, mais aussi très accueillante et solidaire. Aujourd’hui, ils se sentent totalement intégrés à celle-ci mais pas seulement « Nous avons un groupe d’amis de différentes nationalités : australienne, américaine, française bien sûr, et avons la chance d’avoir maintenant quelques bons amis Thaïs. »
Le weekend, cette petite famille en profite pour partir à l’extérieur de Bangkok. « Nous nous rendons régulièrement à Hua Hin, Koh Samet où la mer est magnifique ainsi qu’à Pattaya, Koh Samui, Krabi, Koh Chang … »
Des weekend dans le sud ou encore dans le nord très accessibles à tous « Pendant 5 ans, nous n’avions pas de voiture et nous partions régulièrement à la mer grâce au système de Bus, ou location de voitures. La mer est à seulement 1h30 de Bangkok ! La Thaïlande en quelques mots est un monde en effervescence permanente et où l’on peut profiter d’une qualité de vie inégalable. » assure-t-elle.
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Quelques adresses utiles
Restaurants français : « crêpes and Co., Paris -Bangkok, Indigo, le pape, Quince. »
Les marchés locaux : « le marché du jeudi, soi 23, à coté de l’université, le marché des secrétaires tous les matins à Silom ou encore ceux de China town, Siam discovery et Siam square. »
Produits alimentaires français : « Les supermarchés proposent de nombreux fromages français et une très belle sélection de vins. »
Quelques conseils pour s’intégrer :
« Il faut prendre son temps pour comprendre la population et le pays où l’on a choisi de s’installer. Vivre « local » et ne pas vouloir transposer ses habitudes françaises à tout prix. Apprendre le Thaï pour avoir quelques notions est un bon moyen d’intégration. »
bonjour, dans quel secteur economique avez_vous investi ?
je préfères rester en france pn a la sécurité socia
Dommage pour vous Michele Gaillard car si ce n est que ça qui vous fait vous priver de cette superbe qualité de vie qu’offre ce beau pays… Alors qu’il existe des assurances sante expatries qui prennes en charges au 1er € depense ou bien aussi le CFE (qui est la sécu française a l étranger…) !! Parole d un jeune expatrie de 40 ans en Thailande depuis 1 an…et croyais moi je ne regrettes rien et ne retournerai jamais « subir » la morosité Et le déclin en France…:-)
ont pense partir aussi en thailland mais plutot a ko samui , ont y retourne en decembre pour la cinquieme fois
de notre côté, nous sommes une famille belge avec 2 ados de 13 et 15 ans et nous avons un petit resort sur Koh phangan..la vie est belle , même si pas toujours simple au jour le jour…
Partir pour la Thaïlande : mon rêve deviendra peut-être réalité
J’envisage moi aussi d’aller m’instaler là bas dans quelques années (17 voyages a ce jours).la qualité de vie est de loin superieur à la notre même si ce n’est pa stoujours évident au quotidien.En thailande , c’est d’abord les thais ensuite les farangs et c’est pas plus mal .Si on adoptait cette politique chez nous en europe , il y aurait certainement moin de problèmes……..mais ça , c’est un autre débat.
Dès que je serais à la retraite je compte faire tout ce qu’il faut pour aller vivre en Thaïlande. J’adore ce pays, les gens sont formidables et accueillants. Il y a une qualité de vie que je suis bien loin d’avoir ici. J’ai des amis là-bas en plus Thaïlandais je n’aurais certainement pas de mal à faire le grand saut. Reste à convaincre mon mari que nous serons plus heureux là-bas qu’ici.
J’aimerais d’abords demander à Marie , comment peut-on avoir une qualité de vie à Bangkok, quand on sait que pollution de l’air,la pollution sonore est une cata. J’aimerais répondre à Tom Mia, oui c’est vrai qu’ils chassent et pourtant pour la majorité ce n’est plus nécessaire et c’est pour cela justement que la faune disparaît , par exemple les grands mammifères ont totalement disparues en dehors des Parcs nationaux , ici ou je vis depuis quelques années j’ai réussi à voir une fois une mangouste qui était courante il y a encore 20 ans, et je parle pas du massacre des reptiles et des oiseaux. Sans parler de la destruction du golfe de Thailande pour la plaie de tous les pays le tourisme de masse. C’est ça votre qualité de vie ????